Pour moi, c'est de "l'acharnement thérapeutique". Tout ce que je vois, c'est la franchisation d'un univers qui devient une marque plus qu'un univers BD.
Je ne dis pas que ça empêche de faire de bonnes bd, mais je trouve ça étrange. Par exemple, pour Spirou, les nouveaux albums se posent davantage en hommage, et il me semble que c'est la même chose pour le dernier Lucky Luke d'ailleurs (à confirmer)
Pour Astérix, depuis la mort de Goscinni, je trouve que Uderzo n'a pas le niveau, et que les derniers albums, c'est du n'importe quoi.
De l'autre côté du miroir, pour les auteurs qui ont un contrat de reprise de bd, je trouve que c'est également dommage pour eux, car ça les cantonne à un univers. Pour moi, ça devient un boulot alimentaire. autant ça peut être sympa sur un album, autant ne faire plus que ça est une forme de destruction de l'univers de l'auteur.