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| la nuit de midi par Raskas | |
| | Auteur | Message |
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salyna cushing-price Membre fondateur/trice de Plume
Nombre de messages : 675 Age : 37 Date d'inscription : 12/11/2008
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| Sujet: la nuit de midi par Raskas Jeu 5 Jan - 21:07 | |
| haha ! j'inaugure les commentaires pour ce texte qui malgré le fait qu'il soit depuis longtemps sur plume, n'en avait pas eu !
Alors pour commencer, c'est un peu court, et parfois on à du mal à comprendre de quoi il retourne. Notamment les 2 postes très court avec les points de suspension. Pour le reste, c'est très bien écrit, on comprends bien ce qu'il se passe.
Ça mériterai de l'approfondissement pour rendre l'histoire de réfugier du froid encore plus dure.
Bref, une petite histoire glaçante, terriblement vrai mais courte !
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| | | Little-Red-Fox Oeuf de papillon
Nombre de messages : 40 Age : 36 Date d'inscription : 25/07/2011
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| Sujet: Re: la nuit de midi par Raskas Dim 8 Jan - 14:21 | |
| Flûte, moi qui voulait être la première à poster sur ce texte ! Tant pis, je prendrais donc la suite ! Pour commencer, je dirai simplement que, dans l'ensemble, j'ai bien aimé ton texte. Tu es loin d'être le seul à avoir exploité ce thème. Néanmoins, là ou beaucoup se sont essentiellement attachés à décrire par le menu détail un environnement dévasté, tu as fait le choix de te focaliser sur le "chaos" qui règne dans l'esprit même des survivants... et ça, "j'aime". Les questions qui s'entrechoquent, d'un personnage à l'autre ; la façon dont tu pointes avec insistance le paradoxe du nucléaire (protection/destruction) ; toutes ces réflexions - dont certaines ne sont pas loin du pur cynisme - trouvent une certaine résonance chez le lecteur, qui ne peut s'empêcher de ressentir... un certain malaise ? Impression renforcée par le jeu typographique (italique, gras, tabulations)... et peut-être aussi par le contexte actuel (rapport aux tensions qui règnent autour du nucléaire ? Bref, ne nous éloignons pas trop du sujet ! ). D'un point de vue plus formel... La façon dont tu as multiplié les points de vue n'est pas pour me déplaire. L'ensemble gagne ainsi en dynamisme. Cependant, le manque de "contextualisation" peut-être déstabilisant. Je ne parle pas des passages où figure le capitaine, mais des autres... Dans ceux-ci, est-ce toujours Robert que nous suivons, où bien encore une tierce personne ? Peut-être qu'en revoyant tout le jeu typographique (UNE typo pour UN personnage), le lecteur se figurerait-il mieux de quel protagoniste il s'agit. Puisque j'en ai quand même parlé deux fois, attardons-nous donc un instant sur cette typo. Dans la dernière partie, elle s'avère plutôt efficace ! Elle reflète bien, selon moi, le chaos ambiant, les doutes qui assaillent les esprit, l'accélération soudaine du processus de destruction... jusqu'à l'ordre final. Pour terminer, et parce que si je n'en parlais pas, je ferais défaut à mon statut de "pinailleuse en chef", juste une petite remarque quant à la ponctuation. Attention à l'usage répété des ";" là ou les virgules auraient suffit... Et inversement. C'est fou ce à quoi peut tenir le rythme et le sens d'une phrase... Une simple virgule ! Bref ! L'honneur est sauf, j'ai pinaillé ! Pou le reste, je ne peux que renchérir sur ce qu'a dit Saly : une histoire courte (plus longue, elle se serait peut-être essoufflée...) et "glaçante". Froide comme la lame d'un couteau peut-être ? Au plaisir de te relire, L-R-F. | |
| | | Nevilli Petite chenille
Nombre de messages : 264 Age : 37 Localisation : Là où tout est possible Date d'inscription : 26/02/2009
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| Sujet: Re: la nuit de midi par Raskas Lun 9 Jan - 20:47 | |
| Yop Raskas, ça faisait longtemps ! Bon, à moi de commenter ce texte…
Alors, avant de commencer : j’ai déjà eu l’occasion de lire quelques uns de tes textes (Le Cadre, furieuse fatalité d’un mal aimé, La vie la vraie), j’en ai aimé certains, détesté d’autres. Celui-là, je ne sais pas trop où le ranger : j’aime certains passages, des thèmes sympas, mais c’est gâché par une grammaire et une orthographe désastreuse. Je sais bien que tu clames à tout va que tu es dyslexique, mais honnêtement, des fois c’est tellement gros comme erreur qu’on a l’impression que tu fais exprès : le « Comment à ton put » me reste en travers de la gorge, ainsi que le « nous ne fessons que survivre », tout en sachant que les deux « S » font le son ç quel qu’il soit. Or dans « faisons », prononcé [feuzon], on n’a pas du tout ce son. Les dyslexiques que je connais reproduisent les sons qu’ils entendent et font fi du reste. En ce qui te concerne (dyslexique ou pas, je ne sais pas je n’ai pas à juger), j’ai plus l’impression que tu joues de ta grammaire et de ton orthographe désastreuses pour te donner un style. Des fois ça marche, des fois ça marche pas. Là, pour moi, ça marche pas. C’est con parce que le thème, bien qu’utilisé et réutilisé des milliards de fois, tu l’abordes de manière plutôt originale et sympathique. Mais encore une fois, il y a un hic : la forme. En effet, c’est original, mais pour le coup, tu donnes plus l’impression de te cacher derrière pour éviter de révéler le manque de fond derrière. C’est super dommage je trouve, surtout qu’en lisant d’autres trucs de toi, on passe facilement outre les fautes de français grâce justement à ce fond qui passe devant la forme. Là, j’en suis désolé, mais la magie n’opère pas et je n’arrive pas à apprécier le fonctionnement de ton texte, qui change (ou pas ?) de narrateur. Là aussi, on a un problème : entre le début et la fin, on ne sait pas trop comment prendre les choses. Est-ce que c’est un changement de narrateur dans une même époque ? Ou bien un changement d’époque avec le même narrateur, et donc un retour en arrière pour expliquer la catastrophe ? C’est vrai que c’est bien des fois de laisser un doute planer sur la vérité, mais là, le problème c’est que les deux vérités s’annulent mutuellement. Car si on opte pour la première explication, on pourrait se dire qu’on a les deux visions de la fin du monde (la civile et la militaire), mais la transition des deux est plutôt mal sentie. Au contraire, si on pense à un flash back dans la deuxième partie, on peut imaginer le narrateur du début penser à son passé de commandant. Mais là encore, il y a un problème : on parle de la fin de tout, ce qui veut dire logiquement qu’il n’y aurait rien après, non ? Bref, c’est trop flou pour moi et personnellement, j’aime le flou quand les questions alternatives sont toutes plausibles, or là, ce n’est pas le cas. De mon point de vue en tout cas, après, il y a peut-être une autre explication, mais je ne la trouve pas. Dans tous les cas, il faudrait bien plus de clarté à ton texte car là c’est le fouillis. Bon, peut-être que tu voulais que ce soit le fouillis comme pour faire écho au bordel d’une fin du monde, mais honnêtement, je ne l’ai pas vu comme ça :-/ Encore une fois, tu fais prévaloir la forme un peu bancale de ton texte sur tes qualités de conteur que l’on voit à peine ici, et je pense que c’est une mauvaise idée. Après à toi de voir.
Affectueusement,
Nevilli
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